Les trains qui n'arrivent pas à temps.
Le condom qui pète.
L'avis de tout le monde.
Le bonheur des autres.
Les photos de nos sacrifices.
La neige fondue dans la cour.
Les balbutiements de l'automne.
Les rendez-vous manqués.
L'appartement en ruines.
Le frigo qui brise tout le temps.
Le suintement des ordures.
Les fréquentations indécentes.
La drogue gratuite.
Les lendemains embarrassants.
La carte de crédit coupée.
Le sang qui sèche sur le bois franc.
Les journées sans fins.
La petite politique.
La performance de ta médiocrité.
Le garçon trop bien pour moi.
La salope qui appelle sur mon numéro.
Les rayons de soleil sur mon parapluie.
Tes excuses sur notre répondeur.
Mes habiles faux sourires.
Ton chat que j'ai tué.
Tes larmes pour un sac de poudre.
Ton argent.
Mon cœur désinvesti.
Ma peine de 500 kilomètres.
Ma dépression.
Les seringues qu'on emprunte.
Le temps qu'on vole.
La morbidité de mon utérus.
Les chansons tonitruantes.
L'insomnie successive.
Le brouillard journalier.
La déchirure de l'abdomen.
Les dévoilements en dentelle.
Les secrets éparpillés.
Le vide de tes poèmes.
Le condom qui pète.
L'avis de tout le monde.
Le bonheur des autres.
Les photos de nos sacrifices.
La neige fondue dans la cour.
Les balbutiements de l'automne.
Les rendez-vous manqués.
L'appartement en ruines.
Le frigo qui brise tout le temps.
Le suintement des ordures.
Les fréquentations indécentes.
La drogue gratuite.
Les lendemains embarrassants.
La carte de crédit coupée.
Le sang qui sèche sur le bois franc.
Les journées sans fins.
La petite politique.
La performance de ta médiocrité.
Le garçon trop bien pour moi.
La salope qui appelle sur mon numéro.
Les rayons de soleil sur mon parapluie.
Tes excuses sur notre répondeur.
Mes habiles faux sourires.
Ton chat que j'ai tué.
Tes larmes pour un sac de poudre.
Ton argent.
Mon cœur désinvesti.
Ma peine de 500 kilomètres.
Ma dépression.
Les seringues qu'on emprunte.
Le temps qu'on vole.
La morbidité de mon utérus.
Les chansons tonitruantes.
L'insomnie successive.
Le brouillard journalier.
La déchirure de l'abdomen.
Les dévoilements en dentelle.
Les secrets éparpillés.
Le vide de tes poèmes.
Crier encore.
Parce que tu n'es qu'un lâche.
Je m'acharne jusqu'à plus faim.
Tu t'absentes sur la pointe des orteils.
Je souffle naïvement des baisers.
Tu t'es sous-loué encore.
Je me suis vendue un peu.
Vois-tu?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire