Ça faisait longtemps.
T'avais hâte.
Moi aussi j'avais hâte.
Je me sens proche de toi à soir.
C'est facile.
Ça déboule tout seul.
Ah ben regarde donc ça j'ai pus de brassière.
Je te veux.
Je vais te montrer.
Tu vas voir.
Sors-la.
Je la tiens à deux mains.
Je me mouille les lèvres.
J'ouvre grand
et je me l'enfonce.
J'arrive presque à tout prendre.
J'aspire. Je suce fort, je tète longtemps.
Je suce tellement que j'en ai mal à la tête.
Je suis toute essoufflée.
On pourrait se demander comment ça se fait que t'es pas encore venu.
C'est ma technique.
Je te maîtrise parfaitement.
La mâchoire écartée et la langue endolorie,
je me couche sur le dos.
Tu montes sur moi,
je m'écartille, je plie les genoux
et je croise les jambes dans ton dos.
Tu donnes des petits coups,
tu entres à peine.
Je me mets à trembler
et à secouer les reins pour
tenter de capturer.
Je te pogne les fesses et te pousse au fond de moi.
Je crie.
Je me resserre sur toi et j'ai envie de pisser.
Tu le sens gonfflé,
tu te frottes et te cognes dessus.
Tu gémis. Je serre.
Tu vas très vite.
Tu pèses fort sur le bouton en t'agitant.
Je me déverse sur toi
et sur ton lit.
T'avais préparé une serviette,
je trouve ça mignon.
Mais pourquoi on l'a pas mis sur le lit avant?
J'imagine que tu voulais pas me mettre de pression.
Je pense que t'aimes ça plus que moi.
T'as même pas besoin de jouir.
On se couche en cuillère.
Tu me flattes et m'embrasses l'épaule.
J'ai pas envie qu'on s'endorme comme ça.
Je me frotte un peu.
J'essaie d'écarter les fesses de te faire glisser entre.
Rapidement tu durcis.
Tu me demandes ce que je fais
et à quoi je pense.
Qu'est-ce que je fais?
J'essaie de te faire rentrer dans mon cul
et je pense que je devrais faire une autre batch de biscuits.
Tout le monde aime mes biscuits.
Tu mets ton doigt et tu le remues en moi.
Ça m'excite, je commence à me branler.
Je tourne tout doucement autour
parce que sinon je vais jouir tout de suite.
Tu ressors ton doigt.
Tu prends ma jambe et la soulèves un peu
pour m'ouvrir.
Tu glisses doucement en moi.
Tu poses ta main sur ma hanche.
Ton souffle est saccadé, comme si tu faisais un effort.
Tu avances.
Je réagis et laisse échapper un petit couinement.
Tu t'immobilises.
-Reste comme ça un peu.
-OK.
Tu recules un peu et tu reviens.
Sans aller plus loin.
Tu attends que je te le dise.
J'attends d'être prête.
Tu pinces et tires un peu mes seins.
Tu me fais une sucette dans le cou.
Je ne te sens presque plus dans mon derrière.
-Remplis-moi. Rentre au complet.
-Au complet.
-Je veux que t'ailles au fond.
-Au fond.
Tu donnes des petits coups
et un grand.
Je crie. Tu cries.
-C'tu correct?
-Correct.
-Trop fort?
-Non c'est parfait.
C'est un mouvement franc.
Exact.
Presque mécanique.
La force, la vélocité.
Une sorte de mouvement perpétuel.
J'arrête de gémir
tu respire moins fort
tous les deux concentrés à se bercer
ensemble.
Le bruit que ça fait.
Ça m'excite,
ça me fait peur.
J'ai hâte qu'on vienne.
Ça me fait peur.
J'ai pas mal.
Un bruit d'étirement.
Quand tu rentres.
Tu me fends.
Tu me perces.
Tu m'étires.
Bruit de tension.
L'écartement.
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