Viens les chercher,
je vais les mettre dans ta dernière boîte.
Emporte tout ce que tu m'as dit.
C'est pas grave, c'est pas grave.
Je suis fatiguée de tout ça.
À bout de force.
Je me suis arrachée les ongles
en essayant de te retenir.
Pars flâner dans la tête d'une autre fille.
J'ai donné.
Je t'ai donné tout ce que j'étais.
Ne me rends rien.
Laisse-moi me reposer, me reprendre.
Je ne veux plus jouer.
N'écris pas.
Arrête maintenant, si tu ne veux pas me crever.
Je dégringole,
je perds mon nom en fouillant
les papiers officiels.
Je suis obligée de mettre le feu,
tu es sur toutes les photos de moi.
Tu sais quand tu disais
que je suis un petit minou Russe,
communiste,
très très dangereux,
mais doux.
Pourquoi ça me revient aujourd'hui?
Tu m'inventais et je me laissais faire.
Tabarnak ça fait mal.
Ça m'apprendra.
Chaque fois que j'ai torturé un chaton,
je me suis persuadée que c'était
inévitable, irrésistible.
Ça crie comme un bébé qu'on écorche.
Ça soulageait mon inconscience.
Tu sais, quand il sent qu'il va mourir,
le chat,
il se met à ronronner.
Va-t'en.
Aïe! Ho là là! Ça frappe fort ça.
RépondreSupprimerEssayer de retenir le bonheur, c'est comme essayer d'arrêter le temps.
RépondreSupprimerle tic-tac
Un flash-back : le soir tombait, et nous l'avons laissé faire.
RépondreSupprimerle lâcher-prise II
Quand il va mourir, l'homme râle.
RépondreSupprimerle témoin
Si je dérange, j'accompagne l'autre con.
RépondreSupprimerla valise pleine
On apprend de ses erreurs. Jamais de ses amours.
RépondreSupprimerle vieux renard
' = apostrophe.
RépondreSupprimerle savoir-faire
Ça ne sort pas toujours comme c'est rentré.
RépondreSupprimerle tampon de la poste
Tattoo : Pas encore assez fort.
RépondreSupprimerNeurone : Quand toutes tes personnalités entrent en conflit, ça doit être beau à voir. Le mot qui commence par D, je ne peux pas le regarder ni le prononcer sans faire une crise d'angoisse, pathétique.
Change de drogue.
RépondreSupprimerSuzanne.
Je vais dormir, j'suis fatiguée là.
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