Jure-le!
Jure que tu ne le fais avec personne d'autre.
Je suis sûre que tu dis ça à toutes les filles.
J'ai retiré ma culotte dans le taxi,
pour que ça aille plus vite.
Tu peux juste relever ma jupe et te servir.
Je te l'ai montré dans l'ascenseur.
J'ai remonté le tissus sur mes cuisses.
Tu as vu que je suis toute rasée.
L'air frais me faisait mouiller.
Tu bandais déjà.
J'aime la fenêtre de ton bureau.
Je me ferais enculer ici le soir,
pouvoir crier et profiter de la vue magnifique.
Dis qu'il n'y a que moi.
Dis que les autres se refusent.
Dis que c'est moi que tu veux.
Je ne veux pas être comme elles.
Je ne laisse pas n'importe quel cave me faire ça.
Est-ce que tu ramones n'importe quelle conne?
Je te fatigue avec mes questions.
Je suis la meilleure avec ma bouche.
Tu le dis pendant que je te suce les couilles.
Je ne veux pas que tu touches à mes seins,
je ne les aime pas.
Tu faufiles la main entre mes cuisses,
tu m'écartes les fesses.
C'est tout ce qui t'intéresse.
Tu m'appelles rien que pour ça.
Ça m'excite, j'en ai envie, moi aussi.
Tu le sais, ça te rend fou.
Tu es assez dur pour casser du béton
avec ta grosse mèche nervurée.
T'es trop énervé, je te laisserai jamais
prendre mon cul comme ça.
Commence par me lécher comme il faut.
J'ai pas dit oui.
J'ai dit peut-être. Faut que ça me tente.
Arrange-toi pour que ça me tente.
Je vais aller m'asseoir sur ta face
et je vais laisser tomber ma jupe,
tu ne verras plus rien.
Laisse-moi te sucer longtemps.
Tranquillement.
J'ai la chatte qui ruisselle.
Mouille bien tes doigts et ne m'en mets
qu'un à la fois.
Fais pas ton pressé.
Un à la fois.
Fouille-moi encore avec ta langue.
Qu'elle est douce, ta langue!
J'aimerais que tu me lèches comme ça,
après m'avoir fait mal.
Fourre-moi fort, fais-moi
d'abord jouir avec ta queue.
Tu ramasses mes cheveux en couette
que tu enroules autour de ton poing.
Tu tires.
Tu me donnes des claques.
Je sens ma peau s'échauffer, rougir.
J'ai un orgasme et tu pars avec moi.
Retire-toi!
Ça glisse bien, trop bien.
Je me resserre mais je mouille tellement.
Je te défends d'entrer.
Viens là, le gland pressé contre mon petit trou.
Tu te serviras de ton sperme comme lubrifiant.
Je te sens couler.
Beaucoup.
Si j'étais toi, je ne débanderais pas tout de suite.
Le meilleur s'en vient.
Je m'étends à plat ventre sur ta table.
Je relève le derrière et je te demande
ce que tu préfères.
Plus haut, plus bas?
Tu m'écartes les jambes.
Encore plus.
Ta main caresse le talon de mon soulier rouge.
Je tourne la tête.
Je veux que tu me regardes dans les yeux.
Tu m'agaces en tournant autour.
Tu ne pousses pas assez fort.
Allez, c'est bon, entre maintenant.
Fermement.
Délicatement.
Ouvre-moi.
Avance, sans t'arrêter.
Jusqu'au fond.
Tu parles tout bas pour que je me détende.
Tu recules et tu reviens doucement.
J'ondule pour mieux t'accueillir.
Je te sens bien.
Tu es un géant.
Tu mets la mains sur ma bouche
et je comprends que
ça va commencer.
Tu vas plus loin en donnant de petits coups.
Tu restes au fond un peu et tu bouges
de gauche à droite.
Tu te mets à aller dans tous les sens.
J'ai mal.
Tu vas plus fort.
Je mords mon chandail.
Tu veux que je me branle.
Tu penses que je vais jouir comme ça.
C'est vrai.
Mais pas tout de suite.
Défonce-moi encore un peu.
Oui, je suis une salope.
Bébé, les autres, est-ce qu'elles aiment ça
autant que moi?
Viens au fond de moi.
Remplis-moi de toi.
Il est bon mon cul?
Tu l'aimes.
Répète-le encore.
Dis que personne n'écrit comme moi,
personne n'embrasse comme moi,
personne ne suce comme moi.
Dis que je ne suis pas
comme toutes les autres filles.
Et quand ils le disent, est-ce qu'on devrait le croire?
RépondreSupprimerOn ne devrait jamais croire un homme qui dit ce qu'on veut entendre.
RépondreSupprimerQui croire, alors?
RépondreSupprimerCeux qui osent dire ce qu'on ne veut pas entendre et ceux qui parlent sans qu'on aie à le leur demander, peut-être.
RépondreSupprimerJ'en ai connu un comme ça... et c'était un maître manipulateur.
RépondreSupprimerÇa résume les choix: menteur ou manipulateur. Ah, il y a aussi le "bon gars" mais lui, on ne rêve jamais à sa queue quand on est seule la nuit.
En tout cas, t'es pas comme toutes les autres blogueuses.
RépondreSupprimerWow.... Intense ce billet.
C'est moins simple, et plus compliqué... J'aime ça!
RépondreSupprimerViolaine, moi je préfère les hommes atteints de maladie mentale, c'est imprévisible.
RépondreSupprimerJF, on peut aussi dire que les autres ne sont pas comme moi. De même c'est pas moi qui suis dans la marge.
LeDZ, t'as un petit côté cirque qui m'a toujours plu...