dimanche 17 mars 2013
J'ai envie de toi, pauvre con
Je me contenterais de n'importe quoi.
Tu ne m'inviteras pas chez toi.
Salaud de gentleman, tu me tortures
avec tes principes.
Je suis ton amie.
Je sais que tu fais bien l'amour.
Ça me fait mal dans le ventre.
Veux-tu m'aider?
Rends-toi utile.
Mange mes seins.
Tire mes cheveux.
Mords mon cou.
Fourre-moi n'importe comment
avant que j'aie le temps de me déshabiller.
Je dis que je ne veux pas coucher avec toi
mais j'ai envie que tu me violes.
Prends-moi juste une fois.
Après, je n'y penserai plus.
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moi aussi, je t'aime bien.
RépondreSupprimermais tu me fais pêur.
je ne peux pas violer des gens.
si tu veux, on monte un groupe de grunge à la :
http://www.youtube.com/watch?v=vjS0R5BmYtg
et tu serais ma nana mutilante qui voudrait que je la violes, mais moi, je pourrais pas, car je serais un connard de sentimental totalement inhibé.
mais un soir, je t'écraserais un mégot rutilant contre ta grosse joue rose, et te mordrais la lèvre supérieure, et alors, on boirait, on irait au cimetière, ou dans un café, et je serais malheureux mais pour toi, je donnerais tout. car je serais ton petit christ
(l'intimité de la viande)
j'aimerais te révéler à toi-même
RépondreSupprimerta beauté
mais est-ce possible ?
tu me fiches une baffe pour que je réagisses
je tombe
et te mords le genoux
ma queue s'étale sur le lino
nos enfants crèvent dans la flaque
je suis malheureux sans toi
RépondreSupprimerreste plus près
comme une mère
je me cache sous ton aisselle
mes larmes ne t'ateignent pas
je me sens bien au creu de toi
car tu m'abrites
nous nous oublions
mon amour coule par mon ame
pour toi
en secret dans l'abris
je suis apaisé car j'existe
en toi
par moi
je te lègue mes larmes cachées
c'est la beauté qui reste
tu es ma maman
le ventre que je manges
les yeux que je perds au fur et à mesure qu'ils me regardent
et me saignent
tu es ma soeur-mère
nous ne pourrons jamais plus nous quitter
je me jète par-terre
RépondreSupprimerpour te plaire
mais toi
tu restes enfouie dans ton malheur
tu es belle
tu sais ?
tu sais comment t'es belle
et que tu me tues
seulement à te regarder ?
t'es un jet de lumière caché en moi
tu me fais du bien
mais eux
eux
ils rejètent leurs secrets en nous
je voyais ta beauté
pendant que tu divagais en extase
et qu'ils riaient de notre condition
le monde était rejeté dehors
tu étais la beauté
et moi
les pas qui stupidement
te suivaient
contre eux