C'est certainement en tombant amoureuse d'un enseignant que j'ai arrêté d'y penser.
J'ai beaucoup souri devant ce film.
Je réfléchis comme les artistes sérieux font des fois. Je ne cherche pas vraiment de sens. C'est une boucle sans fin.
Jésus,
la douleur,
la famille,
le sang,
l'enseignement,
l'écriture,
la peau,
l'enfance toujours.
Calvâche, quessé ça. Tu t'en viens pas mal profonde là. Réfléchis pas trop, ça donne le vertige, y paraît.
RépondreSupprimerLes couventines qui m'ont toujours excité. Quand j'ai su, de source sûre, que certaines petites pensionnaires du couvent de ma ville se roulaient la bille l'une l'autre dans les douches et les dortoirs, les coquines, ah, l'effet que ça m'a fait! Les surveillantes savaient tout ça et fermaient les yeux. Faut bien que jeunesse se passe... un doigt.
Voir que je serais capable de réfléchir assez pour me rendre là, moi.
RépondreSupprimerOn me confirme dans mon oreillette que c'est pareil chez les scouts.