mardi 13 avril 2010

Tant pis pour toi

J'te jette un sort. Je m'en contre câlisse que t'y croies pas, c'est pas important. Moi, j'y crois. Tu vas souffrir tout le reste de ta chienne de vie sale.

Ça commence maintenant. Tu sens pas un point dans ton dos?

D'abord, tu trouveras les sex tapes de ta mère avec ton meilleur ami. Ça, c'est juste pour rire.

Ta femme, elle couchera avec ton frère et ils passeront des heures à rire de toi et de tes piètres performances.

T'as des belles jumelles, elles ont quoi aujourd'hui? Quatre ans, c'est ça? L'une d'elles crèvera bientôt, la plus belle. Il ne te restera que la laide qui finira par se shooter de l'huile à patate avec du beurre de peanut jusqu'à la rupture d'anévrisme.

Quand tu deviendras incontinent et te chieras dessus en pleine réunion tu ne comprendras rien, tu auras besoin d'un psy pour passer par dessus, mais tu ne passeras pas par dessus. Je vais m'assurer que tu restes au fond.

Tu deviendras complètement parano et quand tu réaliseras que la pute, celle que tu fourres dans le cul depuis un mois, elle a un beau gros pénis, là, tu n'auras plus rien d'autre à faire que de pleurer en position fœtale sur le plancher de la salle de bain à te demander pourquoi t'es trop lâche pour te tuer?

Tu vas te mettre à engraisser, mais vraiment là. Ton cul sera si gros que tu n'arriveras plus à en rejoindre la raie pour te torcher. Il y aura toujours cette odeur de vieille merde moite émanant de toi.

Tu vas te prendre un dix-huit roues en pleine face et tu te réveilleras quadraplégique, ouais. Ça ne changera pas grand chose hein!

Tu vas te pisser dessus et les préposés aux bénéficiaires de ton CHSLD te viendront dans la face pour passer le temps quand le CH ne jouera pas.

Petit salaud de fonctionnaire sans-coeur à deux cennes et quarts incapable de se planter une cheville dans le cul. C'est dommage de finir de même quand on pense que je t'ai demandé une niaiserie de quelques minutes, mais t'as peur de travailler pauvre petit merdeux d'enfant gâté obèse dont tous les muscles (incluant le cœur) se sont atrophiés à force de ne rien faire du tout de tes journées.

T'es un minuscule, Martin.

5 commentaires:

  1. "Désolé madame, nous on fait pas ça ici. Le système nous laisse pas le faire. Eh, j'comprends madame, mais je ne peux rien y faire."

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  2. «et quand tu réaliseras que la pute, celle que tu fourres dans le cul depuis un mois, elle a un beau gros pénis, là, tu n'auras plus rien d'autre à faire que de pleurer en position fœtale sur le plancher de la salle de bain» : hahahahahahah! j'aime bien cette partie, assez tordant!Personnellement, j'en ai fourré dans le cul des putes avec des pénis, mais je le savais! Ça fesse encore plusse dans ce temps-là! Dans le sens des fesses de l'autre. Ah maudite vie sale!

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  3. C'est le texte le plus mesquin que j'ai lu.
    Es-ce que c'est fictif ta rage?? ou sincère?
    Dsl je ne lis pas assez régulièrement ton blogue pour m'en faire une idée :)

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  4. Donne-moi son nom pi je lui fais passer le pire de tous les mauvais quarts d’heur de sa vie. L’hostie quand j’va lui avoir « driver le cul » avec le plus gros de mes vibrateurs y va s’en souvenir pour toujours.

    Non, mais attend? Mon vibrateur ne mérite pas cette sentence, hein?

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