Ça prendrait un grand drame comme
une tornade
ou de la construction sur ta rue
pour que j'arrête de regarder par ton châssis
quand je reviens le soir
à bixi,
au moins pour une couple de semaines.
Ça prendrait de quoi de grave comme
une commotion cérébrale
une maladie dégénérative
pour que je sois enfin libérée
de ton souvenir.
Si je pouvais juste t'effacer
et ne pas porter toute ma vie l'humiliation.
Non,
tu ne m'as pas
aimée.
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