mercredi 12 décembre 2012

Une berceuse pour ta bite

Je n'arrive pas à dormir, moi non plus.
Tu n'es vraiment pas mon genre.
Je mens mal, ok.
J'aime ça glisser mes doigts entre la peau de ton ventre
et ton jeans. Ça t'a coupé le souffle, j'ai les mains froides.
J'aime pas ça les muscles. J'aime pas les os non plus.
C'est trop dur. Pas confortable.
Tu es parfait.
Sur ton torse, je dessine des formes du bout des doigts.
Tes yeux sont tellement bleus.
Je baisse ton pantalon.
Tu dis que t'as de la misère à venir.
C'est à cause de ton déficit de l'attention.
Faut juste te concentrer un peu plus.
Je connais plein d'exercices pour ça.
Fais-moi confiance.
On va commencer par arrêter la musique, si tu permets.
Veux-tu que je te bande les yeux?
Ça se peut pas!
veux-tu bien me dire avec quoi tu te laves?
Tu sens le petit bébé!
Et t'es doux comme un petit bébé.
Regarde-moi ça. Un beau bonbon tout rose.
Je tire un peu sur la peau pour la découvrir.
Allô! Quelle adorable petite chose!
Est-ce qu'on lui a déjà donné un nom?
Je ne suis pas capable d'arrêter de l'embrasser.
Je l'embrasse partout.
J'ai tellement le goût de te dévorer.
Je vais te sucer jusqu'à ce que tu sois mauve.
Je veux te mordre. Je te montre mes dents.
Je te mordille et tu durcis sur le champ.
Raide comme une barre.
Si je m'asseyais dessus, j'aurais mal, c'est sûr.
Tu me déchirerais.
Ça ferait un bruit de velcro.
Je t'avertis. Tiens-la comme il faut,
si tu veux pas que je te l'arrache.
Je taquine ton gland avec ma langue.
Je lèche tes couilles pendant que je te branle.
Puis, je remonte et referme ma bouche sur toi.
Ça va être difficile, mais je vais la prendre au complet.
J'ai l'impression que tu me défonces la gorge.
Mes ongles se plantent dans tes fesses.
Je pousse encore un peu pour qu'elle entre
toute.
Je remonte et redescends vite.
Encore.
Tu sacres et tu ris de me voir essayer.
Elle grandit encore et ce n'est plus possible.
Je la prends dans ma main et la suçote.
Et puis je ne sais plus trop ce que je fais.
Je ferme les yeux et je fais l'amour avec ta queue.
Je l'aime.
Je pompe longtemps, j'ai mal derrière les oreilles,
comme si j'avais gonflé des ballons toute la journée.
Elle est vraiment bonne.
Elle réagit à toutes mes caresses.
Je sens ton coeur battre sur ma langue.
Elle se redresse, gigote.
Elle frétille.
On dirait presque qu'elle essaie de me dire quelque chose.
Je pense que je viens de me faire une copine!
Je vais lui magasiner des belles capotes roses.
Je ne te dis pas que tu pinces mes seins trop fort,
tu le sais.
Je la tiens bien serrée entre mes lèvres.
J'accueille et j'avale, jusqu'à la dernière goutte.
Je te garde dans ma bouche.
Je te tète jusqu'à ce que tu me demandes d'arrêter.
Ça te fait mal, mais tu trouves ça drôle.
Je la laisse retomber sur tes couilles.
Elle est toujours aussi belle.
Mais elle a l'air fatigué.
J'ai envie de chanter pour elle.
La bercer en douceur.
Elle aime Boris Vian, ta bite?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire