lundi 3 décembre 2012

Si tu me dis que tu bandes

Inspiré par un bel inconnu.


Je ne peux pas rester les bras croisés.
Je referme doucement ma main dessus.
Comme pour te mesurer, mais peu m'importe la taille.
Laisse-moi te regarder.
Je te trouve beau, je te le dis en me léchant les lèvres.
Je presse pour bien te sentir dans ma paume.
T'enserre pour vérifier si tu es aussi dur que tu le prétends.
Oui, tu es bien dur, maintenant.
Je dépose un petit bisou sec sur le bout de ton gland.
Puis un autre, plus doux, plus mouillé, les lèvres entre-ouvertes.
Ça t'amuse que je joue avec, mais tu as hâte que je m'y mette.
Je lève les yeux pour trouver les tiens.
Je lâche tout et je prends ton visage dans mes mains.
Je t'embrasse violemment.
Ça fait longtemps, oui ça fait une éternité que je n'ai pas
mangé une belle grosse queue comme la tienne.
J'ai le coeur qui bat bien fort. 
J'embrasse ton cou et suce un peu le lobe de ton oreille
Mes mains redescendent en caressant ton corps
Je te branle de mes dix doigts.
Je m'éloigne un peu pour te regarder et je parle.
Je parle beaucoup, je suis comme ça.
Je mouille mes doigts avec de la salive pour te lubrifier.
Je te raconte ma monstrueuse envie de sexe.
N'importe comment. Tendre, dur, propre, sale.
Je veux juste du sexe.
Beaucoup, beaucoup de sexe.
As-tu un ami qui pourrait venir te prêter main forte,
lors de notre prochaine séance?
N'essaie pas de relever mon chandail, je t'en prie.
Je suis embarrassée, il y a trop de lumière ici.
Pas déjà, pas tout de suite.
Ne me touche pas, laisse-moi faire.
La prochaine fois, je te laisserai peut-être
me déshabiller
un peu.
Je t'embouche et t'aspire dans un geste brusque.
Tu cries de surprise ou de plaisir,
je ne sais pas trop.
J'ai la chatte qui mouille, qui s'ouvre, qui veut te goûter,
elle aussi.
Comme si tu le sentais, tu plaques ta main entre mes jambes.
Tu creuses un peu ma culotte et tu sens le tissus devenir humide.
Je te serre entre mes cuisses et me tortille contre ta main.
Je te serre entre mes lèvres et je te tète fort. 
Je vais et je viens en accélérant.
Je m'immobilise, j'ouvre grand et je te laisse sortir.
Je te branle furieusement puis je m'interromps
l'espace d'une lente succion et je recommence.
Je te reprends bien au fond de ma gorge en levant les yeux.
J'aime comme tu empoignes mes cheveux.
J'aime comme tu as pris les commandes
et comme tu baises ma bouche sans ménagement.
J'essaie de suivre, de ne pas te faire mal avec mes dents,
de ne pas m'étouffer.
Je veux que tu aimes ça. 
Je pense que ça te plaît.
Une main enserre un peu tes couilles.
Un doigt se glisse lentement entre tes fesses.
Comme ça, n'est-ce pas? On a trouvé le bon rythme.
Il n'y en a plus pour très longtemps. 
D'abord, tes jambes tremblent, tu te tends.
Tes bras tremblent aussi.
Tu cesses de respirer, de bouger. 
Rien que ta main qui vibre entre mes cuisses.
Un doux silence de quelques secondes, nous enveloppe.
Juste avant que je ne gémisse la bouche pleine et 
que tu exploses dedans.
Je sens une première giclée sur mon palais.
Je te sens couler dans ma gorge.
J'avais oublié comme c'est bon.
Mon chéri, ta sève est sucrée 
comme l'eau d'érable quand j'étais petite!
Je me dépêche de te sortir de ma bouche
avant que tu aies tout balancé.
Je ne veux pas tout avaler.
J'en veux un peu sur les joues.
Fouette-moi le visage avec ta queue gluante de sperme
pendant que je me tords en jouissant sous tes doigts.

2 commentaires: