vendredi 24 août 2012

Porte à porte

J'ai failli me faire enlever par des petits vieux qui ne voulaient plus me laisser sortir. Le plus attachant m'a dit que l'an dernier il habitait sur la rue Aylwin. Quand son co-chambreur est mort, ils l'ont laissé là pendant deux jours. Une bien belle histoire.

En revenant je me suis fait apostropher par une bonne femme complètement folle qui me trouvait trop grosse pour m'habiller aussi peu. Je pensais que le macaron posait problème ou peut-être le carré rouge. Le problème c'est ma mini-jupe et ma camisole. J'étais pas capable de m'empêcher de rire pendant qu'elle criait de son balcon, je l'entendais encore un coin de rue plus loin. Faisait longtemps qu'on m'avait pas traitée de guidoune.

2 commentaires:

  1. Ça devait lui rappeler sa jeunesse, la vieille.

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  2. Je sais pas si elle a déjà été jeune. Moi, je serai jamais vieille.

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